Ce sera un peu moins joyeux aujourd'hui, en plus il est tard, mais bon, je tiens à donner ce conseil. 

  Avant d'acheter les billets pour des voyages, surtout, prévoyez et prévenez tout avant. 

  Je devais partir en Chine en vacances de février. Le problème était que je devais rater huit jours de cours. Après des journées de torture d'esprit, je me suis désidée à y aller quand même. Je suis en première. Les années d'avant j'avais refusé parce qu'il fallait rater des cours, mais là, soit j'y vais, soit c'est mort. Déjà parce que ma mère en a mare de me voir refuser à chaque fois, ensuite parce qu'après, ce sera tout simplement plus possible. 
  Tout allait mal donc, mais ça à empirer à cause de mon choix de prévenir officiellement le lycée APRES avoir tout payer (et pour aller en Chine, il en faut du fric, sans compter l'organisation pour les cours et le rattrappage, plus ou moins, du bac blanc à cause de la censure et les prises de tête évidemment, le souvenir restera vif dès que j'y pense). Donc j'y suis allée assez tard. Mais voilà, le CPE et la proviseur ne sont pas content. Alors j'ai recommencé à paniquer, à hésiter. Comme je tardais à me décider, lorsque je pris enfin mon courage à deux mains pour prendre les risques, avoir avoir repenser un peu plus aux conséquences, mes parents n'en pouvait plus. 

  Résultat, beaucoup d'argent gaspillé (et à cause de mon père ça me marque vraiment ce gâchis), des prises de tête pour rien et puis surtout une nouvelle raison de dispute pour mes parents (mon père était plutôt contre, mais ma mère et mes grand-parents me voulait en Chine, la dernière fois c'était il y a longtemps et puis je ne pars jamais !). 

  Donc dans les cas graves, surtout, ne faites pas preuve de flemmardie côté responsabilité. Oui ou non, parfois, faut trancher. 

  Je hais le monde des adultes, ces histoires de responsabilités, de paperasse et tout ! Après tout ce qu'on a fait quoi ! En plus j'étais tellement impatiente. 

  Yo yo yo !! 
  Hey ! Hey !
  Ok je me calme. 
  Bon. D'abord, j'aimerai exprimer mon profond regret pour ceux qui me lisent d'avoir disparut depuis si longtemps (enfin je pense). Je n'avais rien à dire, j'ai du travail et... Ok, je l'avoue, j'avais un peu oublié ce blog, ou plutôt j'avais la flemme d'y songé. 

  Bon, sinon. 
  J'ai un nouveau portable, tout le monde s'en fiche probablement, mais je tenais à dire que même si le Meizu M3s est beau, ses photos ont une qualité dégueulasse alors que le Samsung Galaxie S je ne sais plus quoi fait des photos d'une qualité vraiment remarquable je trouve. Sincèrement, pour l'un, même sans zoom, c'est vraiment pas net alors que pour l'autre, on peut photographier quelque chose de loin puis aggrandir et c'est toujours clair. Si seulement il ne faisait pas n'importequoi... *tristesse*

  Autre chose, pour ceux qui n'ont pas fait le TPE en première, prenez vraiment un truc qui vous passionne parce que c'est lent... Et profiter de l'enfance. Grandir à l'air cool et tout et avec 18ans c'est le rêve ultime de beaucoup, mais c'est vraiment nul en réalité. Vraiment, mais vraiment, vraiment. 

  Sinon, j'étais surtout venue parler de rêve lucide, mais je vais le mettre dnas la catégorie à découvrir. 

  Vu que la dernière fois, j'ai posté un truc qui peut aller dans "Ma vie" dans "Textes", cette fois, je poste un texte dans "Ma vie". 
  Bon en fait ça peut aller partout et puis c'est aujourd'hui et puis je raconte un peu plus que mon texte. 
  Bref, bonne lecture. 

  Ces temps-ci, je tente de sentir un peu le monde invisible. Je n'y arrive pas exactement, mais je persiste à le vouloir. Du coup, pensant que dans un parc, ce serait peut-être plus efficace. En plus, lors de mes promenades avec ma mère nous avons découvert un endroit que je trouve magnifique. 

  Bref, après plusieurs hésitation, parce qu'il y avait des gens et parler devans des gens, même si ce n'est pas obliger de parler à haute voix, c'était pas mon truc. Sans compter que je devais aussi tenter de mesurer l'énergie et peut-être de les toucher. 
  Oui, je tiens vraiment à croire à tout ça. 
  Donc bon, après avoir presque abondonner, il y avait du monde partout ou j'avais tout simplement trop peur, j'y suis retournée. 
  Comme il y avait quand même du monde, j'ai finalement fait l'autre truc que je voulais faire : de l'écriture automatique en pleine nature. 
  Finalement, j'ai décrit le paysage de façon plus fun qu'en faisant un texte. 

  J'ai quand même tenté deux fois d'appeler des Dragons et je ne sais plus combien de fois mon Ange Gardien. Il est possible que j'ai senti le dragon. A certain moment, le vent en tout cas m'a répondu. 

  Oui, je m'emmerde au lycée, je déprime presque donc, je me plains des études. 

  D'un autre côté, je trouve que c'est vraiment un sujet intéressant même si on ne pourrait rien y faire. C'est comme le contenu du cours d'SES : on nous révèle ou pas des choses, et même si on trouve pas ça super, on n'y peut rien. En fait c'est plus le cas de la politique et de la diplomatie, je hais toutes ces manipulaitons d'esprit, n'es-tu pas d'accord ? Rien qu'imaginant qu'il y a une seconde, je pensais que rire est super, mais que la seconde d'après, je penserais complètement le contraire. Brrr. Rien que l'imaginer, j'en frissonne. Mais personne ne me convaincra que lire c'est mal. Mouahaha. (Je ne vois pas ce que ce rire fait là. Trop marquée par un dialogue entre Tara et Magister.) Malheureusement, ce n'est pas tout de suite que ça changera. *triste*

  Nous parlons donc de perfection... Eh bien allons-y. Donc, je ne vais pas faire une dissertation dessus alors pourquoi la perfection c'est bien ? Eh bien c'est simple, personne, ou quasiment je suppose (parce que non, je ne suis pas certaine) préfèrera un moins doué qu'une plus douée. (Oui, les filles seront toujours les meilleures. Sauf quelques rares exceptions, je l'admets.)
  J'en suis à où ? Le sais-tu ? Par els cieux, je me perds et je fais quasiment exprès.
  Bon, donc, la perfection, c'est bien. Sauf que avant de l'atteindre, non, pas du tout. Je ne sais vraiment plus de quoi je parle, mais rien en voyant tous les années d'études pour faire certains métiers des plus intéressants, le découragement saute sur moi. Parce que je ne vois pas où les gens trouvent le courage de vouloir faire tout ça, mais moi, je ne l'ai pas. Le pire, c'est que 

  Après tout, ce blog était tout de même pour que je raconte ma vie et vous partage mes écrits alors voilà.

  En cours de chinois, au bout d'un moment, j'ai pensé que quand on entend ou lit qu'un écrivain, ou même pas, a écrit son livre durement, que parfois c'était très difficile... En voyant ça, je comprennais, ou croyais comprendre, car en fait ce n'est pas simple du tout cette partie. Comme pour beaucoup de chose, ce qui attire l'attention et reste surtout, c'est la fin, là où l'intéresser brille (le héros tue le dragon et sauve la princesse). Avant, il y a bien des choses qui se passent, on devine plus ou moins, mais après, ça a l'air et difficile (les tests et tout...) mais aussi simple : de tout de façon, on sait qu'il s'en sortira et que ce serait un happy end, du moins quand on sait que c'est un happy end. Bref, les détails, pour caricaturer beaucoup, on s'en fiche pas mal, alors que c'est tout aussi important ou plus. (Après, je le sens comme ça, mais moi, je fais mieux, j'oublie tout, sauf certains moments qui ont retenu mon attention s'ils ont de la chance.)

  Pourquoi parler de ça ? Parce que là, je crois qu'on appelle ça une panne d'écriture, mais en bref, ça fait presque un ans, ou à peu près que je n'ai pas vraiment touché à ma fanfiction, et je me rends vraiment compte là, que même si j'ai vraiment envie de finir mon histoire, et que je suis décidée à le faire, cette fin là, m'a l'air moins qu'un rêve que l'issue : je vais parfois tenter de le finir, et même si je n'abondonne pas officiellement, je ne vais pas le continuer ou au mieux le finir. Je sens donc que ces moments de doute sont vraiment difficiles et déprimants, surtout que je suis assez perfectionniste. Même si je ne le finis pas en beauté, je tiens à bouclé mon travail. D'ailleurs pour ma dernière fic, je l'ai vraiment bouclé très, très, très grossièrement. Au début, je songeais à le réécrire, mais là, j'ai vraiment oublié cette idée depuis très longtemps quoi. J'ai commencé la fic sur laquelle je travaille en ce moment car j'étais vraiment dedans, j'y pensais sans arrêt à ma suite (comme maintenant, mais avec d'autres histoires), j'étais persuadée que si je l'écrivais, je pourrais réussir, j'y croyais vraiment. Quand j'ai commencé, j'ai remarqué que je m'imaginais les meilleurs scènes, et que les détails, eh bien ce n'étais pas gagner. De plus, il fallait tenter de ne pas aller trop vite, d'y mettre des détails... Maintenant je n'arrête pas de tout changer sans arrêt, même si ça recommence à prendre forme, mais surtout, je n'arrive pas à imaginer la suite direct, même pas une idée. Là, j'ai parlé de quelques problèmes, mais ils sont loins d'être le tout. Pour ne pas tout mettre ici, je termine juste par le fait qu'il manque vraiment quelque chose de très important, le méchant. Vu ce que j'ai prévus, il doit y en avoir un, mais tout comme la suite direct, je ne sais pas du tout quoi inventer. Surtout que je tiens au réalisme.

  En ce moment, je me motive à ne pas passer mon temps libre à faire des choses plus ou moins inutil, mais plutôt étudier ou au moins faire un plan, parce que mon histoire n'en est qu'à son début, mais voilà. A chaque fois, il y des choses qui ne me semblent pas super.

​  Pour finir, je précise tout de même que mis à part les lettres administratives (cette invention est carrément pire que la voiture : j'ai le mal de transport) et les devoirs, écrire reste une activité que j'aime bien. C'est vraiment génial de sentir le crayon tracer des mots sur du papier (même si après, si je veux les partager, c'est vraiment pas marrant de copier). Je ne suis pas fan de relecture de mes textes, mais... Je tenterais de décrire ça une autre fois, peut-être, mais jouer avec les mots, c'est vraiment très amusant.

  Je me rends compte parfois que tenir ce blog n'est peut-être pas une bonne idée et que "Ma vie" ou "A découvrir", je n'arrive jamais à me décider.

  Pour commencer, un brin de définitions et d'explications. E.M.I c'est Expérience de mort imminente, ce qui donne en anglais Near-Death Experience (NDE). Selon wikipédia, il y aurait aussi plein de nom, normalement "mode esprit activé" n'y est pas. Après, qui sait ? Vu le nombre de fois où je me rends compte que je ne suis pas la seule à penser à des choses, on ne sait pas jamais.
  Donc, ce "mode" est activé lors d'un arrêt cardiaque, et peut-être à d'autres occasions, mais alors je ne sais pas lesquels. Vu que mon but ce n'est pas de faire un expo dessus, en bref, ton coeur et ton cerveau sont HS, tu es donc en était vraiment urgent, après tout la mort est une maladie des plus difficile à guérir ou des plus fatale dit je-ne-sais-plus qui en plus précisément, et là, pouf tu sens ton esprit, âme ou même aura quitter ton corps. Tu te vois flotter au dessus de toi, voyant à travers les murs et à 360°, entendant les pensées des autres... La classe hein ? En plus, c'est la béatitude totale, tu te sens libre, vivant, bon, en paix... Bref, le paradis. Ensuite, il y a une histoire de tunnel au bout du quel il y a un être de lumière, qui leur passe leur vie (comme dans les romans quand tu est au bord de la mort, est-ce lié ?) et puis pour ceux qui sont revenus nous donner des témoignages (parce que tout ce que je résume très brièvement ici est ce que j'ai compris des explicaitons) d'une façon ou d'une autre, certains parce que ce n'est pas encore leur heure, d'autres par choix. Bref. Ils sont revenus, plus bons, et à nouveau enfermer dans la prison qu'est notre corps.

  C'est de là que je vais partir juste après vous proposer de lire La vie après la vie de Raymond Maudy, une personne qui s'est intéresser à ça, même si je n'ai pas lu le livre. Il semble vraiment bien.
  Bref, je ne sais pas si quelqu'un y a déjà penser, mais ma théorie, c'est ça. Ce qu'on appelle vie, ce n'est pas vraiment ça. La vrai Vie, serait l'équivalent de la mort pour nous, enfin ce qui vient après vu que ça, ce serait plutôt la naissance dans ce cas. Pourquoi ? En bien justement à cause de ce sentiment d'être emprisonner et d'être plus en vie en mode esprit. La logique, je l'adore, mais parfois l'instinct est super et là, c'est visiblement du pure sensation avec de l'innocence pure, ou avec d'autre mot. Une utopie en plus donc. Bref, je ne sais plus quels autres arguments j'avais, mais tout ça me semble vraiment possible. Et puis s'il y a histoire de réincarnation, ce serait comme si on faisait un voyage, un peu comme quand tu joues à un jeu vidéo : tu incarnes un personnage qui ici doit être unique, même si ici, ce n'est évidement pas pareil.

  Cette fois ci, pas de préambule, en plus de la fatigue intérieur que je ressens, Prometheus m'a assez achevé, ce que je ne comprends pas, ou pas trop. Est-ce à cause de la cuauté humain envers humain ? Parce que de la tuerie, j'en ai vu d'autre, comme la série Alien : Isolation de Squeeze, un youtubeur, Alien Vs Prédateur, le deuxième puis le premier, et je n'ai pas vraiment eu de problème... Mais à cette fin là, c'était fatale. Après, m'étant renseigner sur toute l'histoire, je suis curieuse de voir au moins le premier prédateur, et puis peut-être le trois et le quatre d'aliens.
  Une chose me trote par contre dans mon esprit : pourquoi diantre sont-ils aussi moches ? Je ne sais pas moi, pourquoi pas un petit lapin, ou même un loup, peut-être un ours même si je ne sais pas comment ils sont en vrai. Est-on obliger de s'appercevoir que les extraterrestres sont horriblement dégueulasses ? On a déjà les insectes ! 

  Sincèrement, si vous vouliez un conseil de film, regarder plutôt des dessins animés. La magie marche jusqu'à dernière nouvelle. Et au moins, il n'y pas autant de morts. D'ailleurs, attention spoiler, pourquoi ce sont toujours des femmes qui survivent ? Elles sont parfaites, certes, mais un peu plus de survivant est-ce vraiment trop demander ? Parce que, même si à la fin du deuxième A vs P Ils y a plus de survivants, et dieu merci dont l'enfant, c'est tout de même pas super...

  Sinon, les personnages humains. Tout d'abord, même si les monstres sont assez... Sauvage, rien n'est pire pour nous que les humains, nos congénaires, du moins parfois. Ils y en as bien de géniaux, parfois rêveurs ou enfantins, mais certains sont vraiment... et pas seulement les humains, les robots aussi.

  Pour les extraterrestres : je ne sais pas trop quoi penser des Prédateurs mis à part : surtout enlever le moins possible vos masques, vraiment ! Ensuite, je me demande pourquoi ils n'ont pas plus de bleu ou blanc ou vert sur eux... Après, leurs équippements sont parfois vraiment cool.

  Les xénomorphes. Eh bien comme l'autre, moche. Sinon, ils devraient vraiment s'intéresser à autre chose dans la vie, même s'ils aiment chasser. Je me demande d'ailleurs pourquoi ils ne peuvent pas vivre reculer de tout. Comment survivre ? Simple. quand ils deviennent vieux, le petit qui sort de l'oeuf n'a qu'à aller sur lui. C'est vrai quoi. Pourquoi toujours sur les autres.

  Ensuites, il y a aussi d'autres sortes d'extraterrestres qui apparaissent, mais vu que je ne sais pas beaucoup de chose d'eux, je ne vois pas trop quoi dire mis à part que je ne veux vraiment pas rencontrer les sortes de serpends en ennemi, vraiment vraiment pas. C'est juste beurk et puis aïe.

  Sincèrement, si un jour vous cherchez des films, je vous conseille des trucs de gamins, c'est vraiment plus sûr.

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  Pour mon prof de SES que j'ai eu l'immense joie de pouvoir rencontrer et avoir, au moins pour ce premier cours.

 J'adore mon prof de sociologie. Il est hyper drôle et trop fort : rien qu'en se cours, je crois que j'adore déjà la sociologie. Il fait partie des profs qui sont vraiment passionner de ce qu'il enseigne, je pense, comme ma prof d'histoire-géographie-enseignement civique et morale. Et celui là, il m'a apporté plus qu'il ne le crois en cette heure et demi je pense.

 Je pensais que ce que je faisais était de la philosophie et comme j'aimais le faire, je pensais aimé la philosophie, et ça l'était peut-être un peu, et comme j'aimais ça, je pensais aimé la philosophie, mais en fait non, c'était plutôt de la sociologie je pense.
 Là, filière ES, tu mérites toutes mes excuses. Je ne voulais pas de toi justement pour le social, 

 Finalement, j'ai trouvé ce que je fais, peut-être. De la psycologie, pour comprendre me comprendre, pour me trouver, et les autres aussi si possible, et être moi sans me condamner à être seule.

  Nous étions partis, mon père, mes frères, un de leur ami et moi, en voiture. Au début je redoutais ça car j'avais le mal de transport, mais, à croire que je m'habitue, ce n'était pas si horrible. J'ai assez admirer le paysage et même vu une petite merveille de je-ne-sais-qui que je n'ai pensé à prendre en photo que trop tard.
  En arrivant, j'étais aussi assez surprise : je pensais que nous irions dans un pack, certe très grand, mais pas une forêt réel ! Mais je ne me plaindrais pas. Je ne saurais dire si l'air est bien plus pure, mais il n'y a qu'un truc que je pouvais reprocher à ce magnifique endroit : qu'il y ai des insectes et pas assez de lapins et d'écureuil, et que certains endroit me donnent l'impression que je vais tomber à la seconde d'après. C'est vraiment dommage que mon père fume assez souvent. Je sentais l'odeur encore plus tôt et plus loin que d'habitude.

  Au début, nous trouvions difficilement les marrons : déjà il y en avait un peu plus long pour lesquels je me demande si ce n'était pas plutôt des noisettes, je ne lacherai pas si facilement mes écureuils, mais en plus mon père les trouvait beaucoup trop petits, et c'était le cas.
​  Le début n'a donc pas été très simple, mais après, ça allait un peu mieux. Sauf qu'il y avait beaucoup d'insecte et aucun animal plaisant à voir. Aucune trace de vie autre que insectinale (ce mot à de grande chance de ne pas exister), végétale et humaine. Nous avions même entendu une alarme de police à un moment.
  Je ne sais pas comment différencier les marrons mangeables des non-mangeables, mais pour les mangeables, ça peut être une vrai torture de doigts, surtout si on n'a pas de bonnes chaussures ou de préférence deux batons. D'ailleurs, j'avais trouver un batton en particulier qui me plaisait de plus en plus, mais quand je songeais à le ramener chez moi, il était cassé. Farce du destin. (Oui, dans mes souvenirs, c'est la première fois que je vais dans une forêt.) Si quelqu'un va chercher un jour des marrons dans des endroits comme ceux là, d'abord, chercher un coin ou c'est bourré de truc dans lequel les marrons sont avant de tomber, ensuite, chercher un peu sous les feuilles, vous devriez avoir plus de chance de trouver de gros marrons.

  Sinon, le paysage n'étais pas mal, pas assez miraculeux que de voir un petit tas d'herbe bien verte dans la terre sur le bord d'une route de ville, mais les endroits comme les souches d'arbres, ou pas d'ailleurs, peuvent être assez beaux, surtout si on se dit avec une vue un peu enfantin "miracle de la nature" ou "petit coins de paradis" ou encore "habitat de liliputiens" (quand j'avais vu pleins de champignons). et pour les chapignons, j'en ai pas vu des tas... d'espèce ? mais il en en avait pas mal.
  Au passage, je me demande s'il y avait si peu de gros marrons parce que, oui des gens sont sûrement venus en chercher, je pense, mais aussi parce que c'est la fin de l'automne. Je précise que ce n'est en aucun cas scientifiquement prouver hein ? Juste une simple pensée. Parce que ok, ça peut être les animaux, mais on en as vu quasiment aucun.
Oui, quasiment. Il y avait bien une petite souris que mon père à faillit tuer si on ne l'avait pas empêcher. D'ailleurs, je n'ai encore pas pu le prendre en photo. J'étais trop occupée à demander à mon père de l'épargner et aux garçons de venir. Comme il l'a relacher très vite après avoir accepter, on a pu gouter un peu à la sensation d'être chasseur puis, au désespoir de ne pas avoir pu l'admirer plus longtemps. Faut dire qu'il s'est caché très vite le tit gars. Ensuite, j'ai cru quelques fois l'entendre, mais pas plus. Trois fois en tout pour être précise. Sinon, il y avait aussi un moment où nous avions pu entendre un son qui me faisait penser sifflet, et en même temps pas exactement. Un animal ?

  Mon baton !!