CalamitéCeci est un avertissement, ceci est mon histoire. Par où commencé ? As-tu déjà entendu parler de si tu fais un vœu quand tu vois une étoile filante il se réalisera ? Je t'annonce que ça ne marche pas toujours. Heureusement, car quand on fait un vœu, il faut faire attention et quand il se réalise, mieux vaut que ce soit grâce à toi. À cette règle, il y a tout de même une exeption. Étyon, ou Calamité pour les Survivants d'Étyon. Calamité est une étoile filante qui ne se voit que le jour. Si un jour tu le vois, dit toi que tu as de la chance, admire la, mais surtout, surtout, ne fait pas de vœu, même pas le plus banal. Ne tente pas le destin. C'était un jour de printemps lors des vacances, j'étais toute seule sur une colline. Mon petit frère et ma petite sœur étaient avec mes parents. J'avais réussi à les convaincre de me laisser tranquille ce jour là. Comme je le regrette. L'air était pur, l'herbe verte et pas trop humide, quelques personnes étaient là, en famille, en couple ou seul. Ça aurait pu être un après-midi magnifique et banale sans cette étoile. J'étais allongée, lisant un livre, quand j'entendis un cris. Je me souviens très bien de ce cris, c'était un petit garçon qui l'avait pousser quand il vit l'étoile. Elle était magnifique, juste assez grande pour quand la voit. Une bille blanche qui traversait le ciel en laissant derrière lui un ruban blanc. Je n'hésitai pas une seconde et fis un vœu. La nuit, j'adorai observer le ciel dans l'attente d'une étoile, et ce depuis toute petite. Je m'étais entrainée à formuler mon vœu tout de suite après que j'en ai apperçu une. La semaine qui passa fus plus que banale. Le paradis avant l'enfer. Ce fus quand j'entrai dans le train qui devait me ramener dans la ville où je vivais qui l'impossible se passa. Au moment où je passai, la porte du TGV. Au lieu de me retrouver, eh bien dans le TGV, je me retrouvai dans une plaine. D'autres personnes étaient autour de moi, beaucoup. La porte derrière moi par contre avait disparut. Je vis plusieurs fois d'autres personnes apparaître de temps en temps à intervalle irrégulier. Il y avait des gens de tout âge, origine, pays, ect. Je me liais d'amitié avec une fille qui parlait la même langue que moi. Faute de ne pas avoir réussis de me faire comprendre par les autres. Le soir, chaque personne avoit compris qu'on était bloqué ici. Peut importe la direction qu'on prennait, on arrivait devant une faille sans fond avec, en face, une énorme chute d'eau qui semblait tomber droit du ciel. À l'aube, des cris me réveillèrent. Des corps sans vie étaient retrouvés un peu partout sur la prairie. Ils semblaient parfaitement normal. J'appris que personne ne savait pourquoi ils sont mort. Le deusième matin, les corps avaient disparus. Le troisième, il ne se passa rien et je fus un peu rassurer. Mon amie me le déconseilla. En effet, le quatrième jour, de nouveaux cadavres furent trouvés. Le lendemain, ils disparurent. Il n'y avait qu'un seul point commun entre tous ça. Les morts étaient au nombre de treize. Comme le nombre porte malheur. Hazard ? Je dirais que c'est peut-être l'origine. Autre découverte, pour moi. Chaques personnes ici avait vue Calamité. Celui qui avait pensé à l'étoile s'appelait Étyon. On lui avait donc donné son nom. Mais tout le monde l'appelait Calamité. Pendant ce temps, des gens continuaient à apparaître. Toujours le troisième jour. Minimum sept personnes, maximum dix personnes. À chaque fois, tout le monde s'efforçait de ne pas paraître trop triste pour qu'il ne passent pas un trop mauvais premier jour. Ma copine avait préféré m'épargner ce faux espoir sans tout de même m'en dire trop. Je fus surprise qu'il y avait toujours autant de monde. J'appris que certains se mariaient ici. Le matin du quatrième tour, un tour étant égale à trois jours, alors que je commençai à me croire intouchable, un garçon de mon groupe d'enfant disparut. Nous cherchâmes partout, mais aucune trace de lui. Il y avait pourtant toujours quelqu'un pour reconnaître un corps. Chaque personnes étaient vue au moins une fois personne ne disparaîsait comme ça et jamais il n'eut des corps inconnus. C'était même pour vérifier ce point que quelqu'un eut l'idée de faire des groupes de quatorze minimum. Pour être sûre. Puisqu'il n'y avait que treize morts, il restera au moins un pour témoigner. Tu devine donc, lecteur, que les jours suivant, je craignais à tout instant de mourir à mon tour. À chaque fois que je me sentais à l'abris, un « proche » mourrait. Au bout de deux, trois fois, je cessais d'espérer. Un jour, ce fus au tour de mon amie. Elle, elle ne disparut pas. Je fus triste les jours qui suivirent. J'eus même envie de ne pas dormir la nuit des morts, mais on me le déconseilla. Ce qui faisait cela devenait blême à un point inimaginable, les yeux écarquillés de terreur. Je vous passe les autres détails pour arriver directrement à la fin de mon séjour. Ça faisait longtemps que j'ai arrêté de compter les jours. Je m'étais endormis en me disant que je mourirai peut-être demain. J'ai dit qu'il n'y avait pas moyen de se suicider ? Mis à part sauter dans la faille, et encore. Il n'y avait rien sur la pleine, donc pas de nourriture non plus. On ne pouvait ni mourir de faim, ni de soif, ni de fatigue, etc. On ne pouvait pas non plus se laver, mais personne n'est sale. Désoler pour le plagia, mais je crois aussi que le temps s'était arrêté pour nous. Bref, je m'étais endormie et je me retrouve dans le TGV, complètement perdue. La surprise de mes parents quand je me suis sautée sur eux. Comme si je ne les avais plus vu depuis une éternité. Pour ceux qui croient que j'ai terminé, désoler, mais c'est pour bientôt. Commençons par une chose très triste. Le lendemain, je me souvenais parfaitement de mon aventure, mais je ne me souvenais absolument plus des gens. Tout mes souvenirs d'eux étaient devenue tout flou. Limite si je me souviens du genre d'un tel ou d'un tel autre. Le nom de l'étoile par contre je m'en souviens parfaitement. Et je trouvai de nombreux témoignages. Le problème, ils disparaîssaient. Le témoignage de S. ou É. par exemple, c'était super bien écrit. Un jour je voulus les relire, mais pas moyen de les retrouver. Et peu de personnes mettait leurs identités dans les témoignages. Je choisis de faire pareil. Navré. Voilà, voilà.
Bon, il reste à revoir, tout peut être amélioré, mais pour mettre un petit quelque chose ici, je n'ai pas vraiment d'autres idées. Si vous voulez lire d'autre de mes textes, j'en ai mis quelques'uns à la page « LE BLOG ». Merci.
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AuthorIci se trouve quelques'uns de mes création littéraires, mais ne t'attends pas à trouver du théâtre ou de la poésie très codé. Il y aura peut-être un jour une exception, mais pas souvent. Archives
Août 2016
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