Ce titre n'est pas le titre du texte et ce post pourrait tout aussi bien être dans la partie ma vie, mais bon. Sinon, résumons rapidement. Après je ne sais plus quelle vidéo, j'ai tenté d'imaginer un monde où je tente de rencontrer mon ou mes anges gardien(s) et mes Guides. J'ai tenté. C'était bizarre. Surtout la fin. Puis je m'en suis allée. de retour dans la réalité, j'avais envie d'écrire. De décrire ce que j'ai vu faute après l'avoir rapidement esquiser sur un mini bout de papier. Au début, ça allait, mais très très vite, c'est parti loin dans le n'importe quoi. Quelque part entre l'écriture consciente et automatique, puisque je savais quand même ce que j'écrivais, mais que quelqu'un, qu'il était seul ou pas, me corrigeait. Je précise aussi que pendant l'écriture, j'ai senti une présence qui était moqueur derrière moi, en hauteur. Et puis aussi que j'ai demandé à mon ange de me serrer la main que je j'ai senti quelque chose. Je le précise au cas où je ne l'aurais pas écrit. (Oui, je ne me suis pas relue. Comme d'hab quoi. J'écris un extrait et pis ça part dans un tiroir qui ne serait ré-ouvert que pour y fourrer autre chose.) Chais pas pourquoi, j'avais envie de le poster. Comme je ne me le voyais pas le faire sur Scibay ou Booknode, c'est ici que ça tombe. Voyage dans mon jardin secretC'est la nuit. Avec de la lumière, mais la nuit. Lumière bleue ? En haut, c'est le ciel. Noir ? Bleu nuit ? Il a des étoiles, mais je ne vois pas la lune. Je suis sur ? Suis tout court ? Une plaine ? Prairie ? D'herbe. Verte. Avec des fleurs étoiles bleues. Petites, mais qui brillent. Entre le ciel et la pleine, au loin devant, à gauche, c'est un lac. Immense. Comme la mer, mais pas la mer. L'eau est d'un bleu magnifique. Au fond à droite, toujours devant. Entre le ciel et la pleine. La forêt. Derrière moi, des montagnes. D'où vient l'eau du lac. Et où il y a de la neige. A côté de moi, entre moi et le lac mais un peu plus à l'arrière, il y a mon ange. Sans oréaole. Mais avec ses ailes. La lumière blance. Son jolie vêtement long. Blanc brillant. Entre le lac et la forêt, mais plutôt du côté du lac, la Mort. Ou un de ses amis. Ou simplement un spectre. Il est encapuchauné. Une énorme capuche. En capé aussi. Je peux sentir son sourire bienveillant, mais c'est tout. A ses côté, Devant là où la forêt en est vraiment une, un viel arbre sous forme humaine. Chaîne ? Je ne sais pas. Et même si je le sais, je ne le saurais pas. Il est lui marron. Que ce soit son vient manteau de toiles ? Tissus ? Vêgétal, qui a d'ailleurs quelques traces de fougères. Discrète. Les tâches. Il est sage. Il est ancien. Et bienveillant. Il est inquièt pour un arbre malade de la forêt. Je peux l'aider. Il m'aime. L'arbre. Son âme. La Mort ? Il il veut m'enlâcé. Il fait nuit. Mes il y reste de la lumière. Des étoiles ? Bleu pâle blanc. Blanc pâle avec un peu de bleu. Ecriture bizarre. Je me sens bien. J'ai envie de savoir, mais je sais qu'il ne vaut pas. C'est bizarre. Et ça donne envie de rire tellement l'impression d'absurdité est grande. J'écris, mais je crois que c'est mon inconscient qui le fait. Ecriture automatique ? Rêve. Quelque chose me corrige quand j'écris. Je sais ce que je dois écrire. Et en même temps, pas exactement. J'ai quand même pensé à l'écriture automatique. Mais disctée plus conscientiemment. Pendant que je suis plus consciente. Ça a l'air tellement absurde que j'ai envie de rire. Mais c'est une sensation génial. Paisible. Bienveillante. (Je n'arrive pas à trouver le mot.) Tranquille. Paix. Espoir. Je suis entrele fou rire et la plainitude. Je me sens guidée. Je sais et on me guide. Je sais et je ne sais pas. Je n'ai jamais su ? Brume. Ellundril. Brume brune. Chariakin. Voyage. Nuit. Nuit bleu. Etoilé. Btoile bleu. Bleu pâle. Nuit mais pas vraiment nuit. Etoile. Blanc brume. Bleu pâle. Lune. Croissant de lune. Guidée. Bizarre. Absurde. Fou rire. Pahaliah. Hazyiāël. (Barre sur le a ? Tréma (trépa) sur le i ? Et puis après c'est le y qui me semble bizarre. Cloche.) Hazyaël ? Hazyāel ? Hazyiāël ? Haziāël ? Haziel. (Finalement, écrit comme ça et dit comme ça, c'est mieux.) WAOUH ! Plus envie de rire. (Je ne vais jamais m'arrêter ! XD) Je dois l'écrire. Le garder quelque part. Manuscrit. Hermès. (En transparent. Blanc. Sépia. Transgluside. Sucre liquide.) Plume. Encre. Noire. Noires. Plumes. Ange noir. Aux ailes noires. Danger ! C'est bon. Nuit. Etoiles. Viel homme arbre liane bois mort Attend. Guête ? Garde. Veille. Devant arbre. Il est. Le viel arbre est devant la forêt et me regarde. … C'est vraiment PERTUBANT… ! Ombre bon et arbrre pas bon. Moins bon ? Pas bon ? Je me sens bien.
J'ai envie de savoir, mais je sais qu'il ne vaut pas. C'est bizarre. Et ça donne envie de rire tellement l'impression d'absurdité est grande. J'écris, mais je crois que c'est mon inconscient qui le fait. Ecriture automatique ? Rêve. Quelque chose me corrige quand j'écris. Je sais ce que je dois écrire. Et en même temps, pas exactement. J'ai quand même pensé à l'écriture automatique. Mais disctée plus conscientiemment. Pendant que je suis plus consciente. Ça a l'air tellement absurde que j'ai envie de rire. Mais c'est une sensation génial. Paisible. Bienveillante. (Je n'arrive pas à trouver le mot.) Tranquille. Paix. Espoir. Je suis entrele fou rire et la plainitude. Je me sens guidée. Je sais et on me guide. Je sais et je ne sais pas. Je n'ai jamais su ? Brume. Ellundril. Brume brune. Chariakin. Voyage. Nuit. Nuit bleu. Etoilé. Btoile bleu. Bleu pâle. Nuit mais pas vraiment nuit. Etoile. Blanc brume. Bleu pâle. Lune. Croissant de lune. Guidée. Bizarre. Absurde. Fou rire. Pahaliah. Hazyiāël. (Barre sur le a ? Tréma (trépa) sur le i ? Et puis après c'est le y qui me semble bizarre. Cloche.) Hazyaël ? Hazyāel ? Hazyiāël ? Haziāël ? Haziel. (Finalement, écrit comme ça et dit comme ça, c'est mieux.) WAOUH ! Plus envie de rire. (Je ne vais jamais m'arrêter ! XD) Je dois l'écrire. Le garder quelque part. Manuscrit. Hermès. (En transparent. Blanc. Sépia. Transgluside. Sucre liquide.) Plume. Encre. Noire. Noires. Plumes. Ange noir. Aux ailes noires. Danger ! C'est bon. Nuit. Etoiles. Viel homme arbre liane bois mort Attend. Guête ? Garde. Veille. Devant arbre. Il est. Le viel arbre est devant la forêt et me regarde. … C'est vraiment PERTUBANT… ! Ombre bon et arbrre pas bon. Moins bon ? Pas bon ? J'ai l'impression d'être contrôles et c'est vous qui m'attachez. Venue trop tôt ? Maivais choix ? Mauvaix vouloir ? Guidée ? Le monde n'est que sensations. Ange Ironique. Amusé. Maus bon. Moi dans le mauvais ? Non ! Comme méchant. Sentiment des machants. Magister. Ombre vraiment bon ? Est-ce que le train qui part à toute vitesse était vraiment une occasion à saisir ? Est-ce que je regrette ? Test !! Petit.
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Coucou les gens, En fouillant un peu dans mes dossiers, dans le but de ranger un peu tout ça, j'ai trouvé quelques textes. Vu que je ne sais pas trop quoi en faire, j'ai pensé à les poster ici, ça peut toujours amuser des gens (c'est du moins mon cas), mais la clarté des propos n'est pas garantit (et ne le serait jamais avec moi). Sérieusement, les profs sont vraiment sympas. Certains à certains moment au moins. Entre grec ancien où, lors des contrôles, elle va chercher des points là où elle devait pas aller, ajouter une note sur l'implication dans le cours ; physique-chimie où il y a plein de bonus, à bas coefficient, certes, il ne faut pas espérer décrocher la lune, mais il y en as tout de même beaucoup ; et sport où il a galéré et a probablement passer des jours à se creuser la tête pour ne pas nous mettre zéro, alors qu'il aurait pu (il y avait des notes négatifs, et pas qu'une seule si j'ai bien compris). Bref, si vous trouvez que c'est normal, moi je ne suis pas sûre qu'on fait souvent preuve d'autant de bonté et de patience envers nos amis (mais, j'en sais rien. Je ne suis pas très sociable donc, j'ai pas beaucoup d'expérience dans ce domaine), alors, qu'ils ne doivent sûrement pas nous bénir pour leur donner autant de fils à retordre dans leur travail. C'est peut-être aussi pour ça que je n'ai aucune envie de faire professeur. En fait, je viens d'ajouter cette raison à "pourquoi ne pas faire prof ?". Bien sûre, je n'adore tout les profs, je vous le prouverai plus tard, mais je suis persuadée que moi qui suis la majeur partie des journées (je ne sais où, quelque part dans l'univers probablement) j'ai sûrement raté pleins d'autres preuves pour dire que les profs ne sont pas que des monstres sadiques qui ne pensent qu'à nous mettre une mauvaise note. Parfois peut-être, je laisse l'ombre du doute, mais personne n'est parfait. ;P P.S. : pour ceux qui pensent que j'accuse les élèves, je dirais oui, un peu. Ça m'arrive de vouloir avancer dans le cours. Un peu pour le prof aussi, mais surtout parce que je tiens à avoir le meilleurs résultats possibles pour mon brevet. Et qu'écouter en cours, et si possible tout comprendre, sinon au moins plus de la moitié si ce n'est pas trop demander, ça aide. Par contre je ne demande pas à passer des cours sereins et sérieux à longueur de journée, déjà c'est impossible (Dieu merci !), et la vie serait trop terne sans rire. En plus ce serait l'enfer, de la torture. Quoique, ça dépend des matières. Mais comme chacun ses goûts, un peu de rire dans chaque. Remarques et paradoxes On nous dit de lever la main et d'attendre d'avoir la parole avant de parler. Jusque là, pas de problème. Jusque là seulement. Je suis sûrement une des seules (sans me vanter) à la lever plus souvent que je ne prends la parole dans rien demander à personne. Résultat, on ne me voit rarement ou en retard. Je me complique la vie, mais bizarrement, il y a des habitudes plus difficiles à perdre que d'autre. Pas le droit de couper la parole ? On le fait, j'avoue, mais les profs aussi ! De plus, personne pour les gronder. N'est-ce pas injuste ? « Ne pas faire aux autres ce qu'on ne veut pas subir », une phrase digne de méditation. Ma prof de français nous a dit une fois de se poser des questions parfois au lieu de faire les choses ou d’obéir bêtement. C'est un acte bête, lâche, mais compréhensible, logique et normal. Seul un fou (façon de parler) s'amuserait à chercher des ennuis. Ceux qui contestent les punitions en classe, qu'est-ce qu'on en fait ? On s'en fiche. S'il n'obéissent pas, on les punis encore et encore. C'est pas en nous traumatisant dès le collège ou même l'élémentaire, en nous disant que si on donnait tout de suite notre carnet sans discuter on aurai moins de problèmes, qu'on va apprendre de le faire. Autre chose sans grande importance, mais qui me révolte tout de même. Un de mes professeur m'a pris une fois mon stylo sans me demander ma permission, sans même me prévenir. Il me l'a rendu, bien sûr. Donc on pourrait dire que c'est terminer, mais j'en parle. Je ne sais pas ce qu'en penserai les autres, mais moi, je dis que c'est pas comme ça qu'on montrera l'exemple. Encore heureux que ça m'est arrivé qu'une seule fois. J'adorerais aider les gens qui subissent les injustices, mais, logique humaine, j'aurai sûrement trop peur des conséquences pour oser le faire. Question de brevet blanc, les humains sont-ils capable de faire preuve de solidarité en cas de crise comme la France pendant la seconde guerre mondiale ? Ma réponse est non pour la majorité des gens. L'union fait la force, c'est connu. Mais la logique et la psychologie humaine fait qu'on va penser qu'à soi et à sa survie. Un ami m'a rappeler les résistants et c'est pour ça que j'ai mis « pour la majorité des gens ». (J'ai choisis l'autre sujet car difficiles de tenir deux pages avec ça.) Je suis pacifiste et contre l'injustice. Mais, il y a une grosse différence entre vouloir et le faire. C'est pour ça que j'ai dit que je ne trouverai sûrement plus jamais le courage d'en parler à ma prof, que j'en parle seulement à mes amis. J'ai voulu poster ce texte, je doute maintenant de trouver le courage de le faire. Une autre histoire. Pour une question, « que pensez-vous de cette argument ? ». On demande notre avis pourtant on nous impose une correction. Dans le contexte, ceux qui pensait une chose en dehors de la norme serait bizarre, et qu'on ne corrigeait pas les question du genre « que pensez-vous de ce livre ? » où ça peut vraiemnt varié, mais moi j'ai juste envie de dire que c'est une question de degré. Pour ça, j'ai osé en parler à ma prof de français mais je n'ai malheureusement pas sortis mon dernier atout, ou argument. Proposition de lecture Je vous rassure tout de suite, c'est court. Pas dix pages, heureusement, mais pas cent pages non plus ,je ne crois pas du moins, je n'ai pas vérifier. Ce livre se nome « l'étendard collégien est levé » de Gwaladys Constant. C'est bien « l'étendard collégien » et non pas « l’étendard sanglant ». Aucune histoire guerre la dedans. Pour vous donner envie, lisez ceci : « Chers parents, c'est à vous que je dédie ses lignes, au nom de tous les jeunes qui n'ont pas trouvé le temps ou les mots ou le courage ou l'énergie de vous dire que, malheureusement, vous aviez tord. » C'est écrit sur la couverture. Le contenue est aussi drôle et amusant que ce préface. Bref, en plus de m'avoir plu, il m'a bien inspirer et m'a donner le courage de poster certains de mes observations et remarques. Sinon, je ne suis pas toujours d'accord avec ce qu'il y a là dedans, mais au moins 95 % du contenue. La lecture, c'est bien ; un peu de moi et bla-bla-bla Tout d'abord, ceci « ;P » est la signature que je me suis trouvée. Ensuite, si si, je vous assure, la lecture peut-être amusante, très amusante. Ennuyeuse aussi, je ne dis pas le contraire. J'ai d'ailleurs remarquer une très triste nouvelle. Les livres, comme les jeux, les dessins animés et autre, nous use notre temps sans qu'on le remarque. Explication scientifique, quand on s'amuse, on ne voit pas le temps passer. Explication de Percy Jackson (dans « Percy Jackson et les dieux grecs », livre gros, mais conseillé), quand, lors d'un cours, le temps passe au compte-goutte, c'est la faute à Cronos, quand les vacances passe à la vitesse de la lumière, c'est aussi la faute à Cronos. Sinon, les textes que je vais poster seront souvent -du moins, c'est ce que j'ai prévue, je ne lis pas l'avenir moi- des observations ou des remarques. Aucun n'a pour but de vexer ou je-ne-sais-quoi quelqu'un. Seulement m'amuser, de vous faire rire, de partager mes textes et mes remarques et obtenir des avis si possible. J'aime lire des choses qui me sont adressés. Pourquoi, je n'ai pas encore trouvé d'explication. Mais vu que j'aime aussi lire les dialogues et les lettres, je dirais que ça fait plus vivant. Je pourrais peut-être poster la même chose d'autres part. Rien n'est sûr, c'est sûr des coups de tête que je fais ça. Sinon, je n'aurais jamais osé. Au début, je pourrais poster souvent, mais ensuite, tout dépend de l’inspiration. Si ça vous dit, vous pouvez lancer un sujet et je regarde ce que je peux faire. Ça m’entraînera pour les rédactions. C'est moi ou on apprend rien (sérieusement) en art plastique Commençons par une question, comment ce passent les cours d'art plastique dons votre école/collège/lycée/… ? Dans mon collège, la prof nous donne un sujet, on travaille pendant qu'elle peint de son côté. Si dans les autres établissement c'est pareil, eh bien qu'est-ce qu'on est censé apprendre ? À se démerder ? Si ce n'est pas le cas, pourquoi nous ? (Si on répond qu'il faut bien que quelqu'un occupe cette prof, sérieusement, j'éclaterai de rire avant d'insulter intérieurement la personne avec la maigre liste de vocabulaire que je détiens dans ce domaine.) Sérieusement, c'est le seul cours que je serais ravie de rater sans arrière pensé. J'aimerai bien apprendre à dessiner. Je n'ai aucune idée de comment, faute d'avoir des souvenirs des cours d'élémentaire, mais c'est un cours non ? Je me répète, mais c'est le seul où je n'apprends quasi rien. P.S. : je retire ce que j'ai dit de mal (s'il y en a), le dessin, ça peut être très fun. Pourquoi doit-on grandir ? Gagne-t-on plus que ce qu'on perd en grandissant ? (Ciel ! Oui ! S'il vous plaît. Même si je crois que je répondrais non.) Une question qui me suivrait peut-être toute ma vie. On en perd tellement en grandissant ; l’insouciance, l'innocence, mais aussi « l'âme du rêveur » comme le dit [auteur d'autre monde], ou, ma version, la croyance en l'imaginaire. Ce dernier est le plus important pour moi. Je ne veux pas croire que c'est faux quand on me dira que les fées, les elfes et tout existent, qu'il existe, dans l'univers, pleins de mondes imaginaires ! Encore moins qu'il faut le croire pour les voir alors qu'il est, peut-être, déjà trop tard pour moi. Il me reste au moins les extraterrestres. En priant pour qu'il soit sympa. Une parfaite conclusion à mon avis, humble avis évidemment. ( LoL La fille qui n'est même pas sûr du sens de cette expression.) Sourire ravi Après, chacun son avis. C'est de tout que je parle. Et aussi chacun ses goûts. Sourire qui s’élargit J'ai cinq ans Devant une personne qui devrait être au collège. — Tu as quel âge ? — J'ai cinq ans. La personne annonce cela avec un sourire ravi. Tendant la [ou les] main[s] avec les doigts bien séparer. Une leur de fierté brille dans ses yeux. — Et dans ce cas, nous vous déclareront la guerre ! Au dessus d'eux, une fille soupira. Ausitôt, l'homme qui avait quatre main leva les yeux vers elle. Elle sourit légèrement, pas trop tôt. Elle se laissa tomber pour arrivé devant les multiples personnes surpris. Elle pris la main de la fille, Tara. Je voulus déclancher son pouvoir pour partir quand, elle apperçut un garçon qui voulait lui tirer dessus. Elle l'esquivai et dit : « Venez la chercher dans mon jardin ». Elle souta par la feunêtre et « demanda » au vent de les emmener au ledit jardin. Quelques flèches et éclairs magiques fusèrent vers elle, mais aucun ne la touchèrent, déviés pas le vent. La fille se tourna vers notre héroïne et demanda, d'une voix calme qui la surpris, qui elle était. Elle sourit, ammusée, ce que la fille remarqua sûrement, mais ne dit rien. La fille n'abandonna pas pour autant, mais ne l'attaqua pas. Ils arrivèrent très rapidement chez elle. Notre héroïne partit, après avoir enfermé la fille et demander aux animaux de la garer. Fusionant avec le vent, elle se faufila dans une salle où se trouvait les personnes qui était avec la fille. Elle arriva de justesse avant que lesdits personnes ne disparaîssent. Reprennant sa forme matérielle derrière les amis de la fille, elle sortis avec eux. Elle s'arrêta quand une personne qui stressait sûrement trop lui demanda qui elle étais. Elle sourit. À cause de la formulation de la question, mais aussi des regerds surpris que lui lancèrent les amis de la fille. Elle s'enfuit au hazard dans le château, avant de se cogner sur un homme. Elle recula en s'excusant avant de voir, surprise, les yeux rouges et les crocs de l'homme. Elle eut tout juste le temps de se dire que l'homme qui se tenait devant elle était un vampire avant d'entendre les cris de celui-ci. Elle n'y prêta pas une grande importance, les pas de course se rapprochait. Elle esquiva l'homme et partis en courant. Trébucha contre un loup qui redevient l'homme, mais encore plus en colère. L'ignorant, elle jure, puis se releva pur reprendre sa course pour courir sur les murs. Elle se retouna et vis, satisfaite, que ces poursuivant le et le vampire étaient tous stupéfait. Le garçon, qui lui fit penser aux elfes dans un livre, pris son arc et tira une flèche à une vitesse ahurisante. Pas assez pour surprendre notre héroïne. Elle l'arrêta et l'attrapant. Avec des gants tout de même. Elle se serait bulée la paume de sa main sinon. Elle redescendit au sol, observa [suite inexistante] Nostalgie et futur Qu'est-ce la mort ? Qu'est-ce qui se passe après ? Il y a-t-il quelque chose ? Ou c'est la fin ? Voilà une question à laquel j'ai songé quand j'étais petite, après la mort de mon arrière-grand-mère. À l'époque, je n'en avais aucune idée, je ne pouvais que craindre le néant d'après. Aujourd'hui, j'ai quelques réponses possibles et mon avis. Concrètement, la mort, c'est quand ton cerveau ne marque plus, quand ton sang ne coule plus, quand tu ne respire plus, quand tu ne vis plus quoi. Ensuite, pour certains, il n'y a plus rien. Pour les grecs, au moins les amis de Percy Jackson et les anciens grecs, on va dans le royaume d'Hadès. Les gentils vont aux Champs Élisées, les méchants se font torturés pour l'éternité, il y a aussi une histoire de Tartare. Pour d'autres, il y a aussi les gentils qui vant au paradis, et les méchants en enfers. Pour d'autres encore, il existe une nouvelle vie après la mort en passant quelque part avant, c'est la réincarnation. Le seule point commun de tous ces voyages, c'est que seul notre âmes, un autre soi encore plus soi que le corp. Ma façon poétique de voire les choses. La mort, c'est la fin d'une chose et le début d'une autre chose. Pour le mort, c'est la fin de sa vie et le début d'une nouvelle vie (on se rassure comme on peut). Pour les vivants, c'est le début d'une mission, faire durée la mémoire du mort. Continuer à le faire vivre quelque part. Quand quelqu'un part, il laisse tout de même quelque chose, rien ne disparaît tout simplement. Sinon, pour parler un peu plus sérieusement, personne ne sait ce qui arrive après la mort. Chacun à ses avis, des personnes vont même plus loin que de faire des suppositions, mais on pourrait aussi le voir comme un cadeau pour te féliciter d'avoir véçut en ce monde, c'est une surprise. Flo, quartorze ans, quinze dans un peu plus d'un mois Vous allez me manquer Je dédie ces lignes à mes professeurs du collège. (Mais rien n'empêche quiquonque de me lire. :D) En bref, vous allez me manquer. Comment je le sais ? Parce que je ressens déjà les frissons de la nostalgie. Même en élémentaire, ce n'est qu'à la fin que ça à commencer. Pour être plus précis, c'est quand on a fait les adieux. Avais-je pleuré ? Je crois. Pour la maternel, je ne m'en souviens plus. Peut-être si, peut-être non. Euh… Je crois que c'est tout. Orléans, une ville de rêve ? Depuis je ne sais plus quand, je me suis dite que je veux aller vivre en Orléans. Pourquoi ? Je ne sais plus. La réponse la plus probable est que j'aime bien le nom de la ville. Ajourd-hui, vendredi 17 avril 2015, je suis allée voir sur internet ce que donnait la vie à Orléans. Les mauvais points qui revenaient le plus souvent étaient : pas de politesse (quand on dit bonjour, personne ne répond), pas d'action (aïe), surtout le dimanche, après 19h, c'est trop calme, peu d'activités du genre ciné (ce qui ne me gène pas du tout). Il y a tout de même des bons points, et un truc très curieux, les Orléanais semblent bien aimé Jeanne d'arc. Bref, je me suis dit que si tand de monde toruvait la vie à Orléans fade, pourquoi pas organisés eux même des choses entre eux. Ça pourrait mettre un peu d'action. Tout ça n'empêche que je voudrais bien voir ce que donne la vie à Orléans. P.S. : Je songe à habiter en colloc plus tard, mais suis-je fais pour ça ? Et à quelle âge en moyenne les gens quittent leurs parents ? Découverte
C'est vraiment incroyable et pourtant… Le plus… Difficile à croire ? C'est que je dois ça à mon frère. Là, c'est miracle. (C'est le combientième d'ailleurs ? XD) L'histoire peut-être intéresante ! En fait, la découverte devrai plutôt être : l'école rend tout ennuyant, énervant et j'en passe. Sérieusement. Il n'y a pas longtemps, au alentour du lundi 27 avril, mon frère a retrouvé un cahier. Celui d'histoire de CM2. En lisant un peu tout et rien, je me suis dit que c'était intéressant. Là, je me suis souvenue que ma prof de chinois m'avait dit qu'à l'école, elle non plus n'aimait pas l'école, mais que maintenant, c'était intéresant. Pour moi, même pas besoin d'attendre. J'ai trouvé ce que j'ai lu intéressant !! Il faudrait encore que je cherche un livre pour vérifier cette hypothèse, mais il y a déjà d'autre preuve. En cours, quand mon prof parlait, j'étais à chaque fois plus ou moins attentif. J'ai supposé que c'était parce que j'aimais bien écouter les histoires. Et je ne change pas d'avis. L'histoire en mode histoire, ça peut devenir passionnant. Mais quand ça devient une histoire de notes de d'examens, ça devient stressant et donc une corvée et donc, plus du tout intéressant. (Je disais quoi ? L'école peut être super, mais ça le serait encore plus si on pouvait vraiment essayer des choses sans qu'on soit sous pression. Si ça devenait une occasion de découverte et d'essais, ça et seulement ça, je crois que ça peut vraiemnt devenir super. Au moins pour moi. La compétition, ça peut être bien, ça peut motiver, mais je ne crois pas qu'il faut trop abuser. P.S. : Après Révélation, il y a découverte. Un jour ou l'autre, peut-être même la prochaine fois, il faudrait que j'invente des mots. XD MDR
Doux sentiment de bien-être que nous apporte ces deux activités En extase, ailleurs, loin du monde chaotique Charme briser par deux démons d'enfer L'un n'aimant pas lire, l'autre surexité Ou les deux.? Ce n'est pas come s'ils n'aimaient dormir ou adoraient [lire pour] les deux. Mais comment ne pas aimer se laisser emporter par le doux bercement des vagues de mots ou encore résister à la tentation de rester cinq minutes, ou carrément une éternité dans ce doux paradis incarné en mon lit, mon oreiller et ma chère couverture. Pourquoi se lever si tôt le matin et faire autant de bruit ? N'est-il pas savoureux de s'enrouler dans son petit coin de paradis ou alors planger dans un monde magique et utopique, ou pas d'ailleurs, et faire sienne l'histoire pour permottre au cher écrivain de gagner son pari comme le dit celui des Eveilleurs. Au passage, les Eveilleurs c'était une saga ou un livre tout court ? Deux façons différentes de quitter ce monde Et partir pour un merveilleux voyage Et quand je dis deux façons, ce sont les premières qui me viennent à l'esprit. Je ne comprends vraiment pas pouquoi des gens, n'est-ce pas mes frères, s'ils ne sont pas capables de comprendre, ne peuvent-ils pas me laisser tranquille. Et ils ne sont pas les seuls d'ailleurs. Snif. Ô que c'est triste hein ? Mon précieux avis : Eh bah dit donc ! Sur mon petit cahier, ça ne semblait pas si court. Tant pis. Maintenant, il faut que je travaille. CalamitéCeci est un avertissement, ceci est mon histoire. Par où commencé ? As-tu déjà entendu parler de si tu fais un vœu quand tu vois une étoile filante il se réalisera ? Je t'annonce que ça ne marche pas toujours. Heureusement, car quand on fait un vœu, il faut faire attention et quand il se réalise, mieux vaut que ce soit grâce à toi. À cette règle, il y a tout de même une exeption. Étyon, ou Calamité pour les Survivants d'Étyon. Calamité est une étoile filante qui ne se voit que le jour. Si un jour tu le vois, dit toi que tu as de la chance, admire la, mais surtout, surtout, ne fait pas de vœu, même pas le plus banal. Ne tente pas le destin. C'était un jour de printemps lors des vacances, j'étais toute seule sur une colline. Mon petit frère et ma petite sœur étaient avec mes parents. J'avais réussi à les convaincre de me laisser tranquille ce jour là. Comme je le regrette. L'air était pur, l'herbe verte et pas trop humide, quelques personnes étaient là, en famille, en couple ou seul. Ça aurait pu être un après-midi magnifique et banale sans cette étoile. J'étais allongée, lisant un livre, quand j'entendis un cris. Je me souviens très bien de ce cris, c'était un petit garçon qui l'avait pousser quand il vit l'étoile. Elle était magnifique, juste assez grande pour quand la voit. Une bille blanche qui traversait le ciel en laissant derrière lui un ruban blanc. Je n'hésitai pas une seconde et fis un vœu. La nuit, j'adorai observer le ciel dans l'attente d'une étoile, et ce depuis toute petite. Je m'étais entrainée à formuler mon vœu tout de suite après que j'en ai apperçu une. La semaine qui passa fus plus que banale. Le paradis avant l'enfer. Ce fus quand j'entrai dans le train qui devait me ramener dans la ville où je vivais qui l'impossible se passa. Au moment où je passai, la porte du TGV. Au lieu de me retrouver, eh bien dans le TGV, je me retrouvai dans une plaine. D'autres personnes étaient autour de moi, beaucoup. La porte derrière moi par contre avait disparut. Je vis plusieurs fois d'autres personnes apparaître de temps en temps à intervalle irrégulier. Il y avait des gens de tout âge, origine, pays, ect. Je me liais d'amitié avec une fille qui parlait la même langue que moi. Faute de ne pas avoir réussis de me faire comprendre par les autres. Le soir, chaque personne avoit compris qu'on était bloqué ici. Peut importe la direction qu'on prennait, on arrivait devant une faille sans fond avec, en face, une énorme chute d'eau qui semblait tomber droit du ciel. À l'aube, des cris me réveillèrent. Des corps sans vie étaient retrouvés un peu partout sur la prairie. Ils semblaient parfaitement normal. J'appris que personne ne savait pourquoi ils sont mort. Le deusième matin, les corps avaient disparus. Le troisième, il ne se passa rien et je fus un peu rassurer. Mon amie me le déconseilla. En effet, le quatrième jour, de nouveaux cadavres furent trouvés. Le lendemain, ils disparurent. Il n'y avait qu'un seul point commun entre tous ça. Les morts étaient au nombre de treize. Comme le nombre porte malheur. Hazard ? Je dirais que c'est peut-être l'origine. Autre découverte, pour moi. Chaques personnes ici avait vue Calamité. Celui qui avait pensé à l'étoile s'appelait Étyon. On lui avait donc donné son nom. Mais tout le monde l'appelait Calamité. Pendant ce temps, des gens continuaient à apparaître. Toujours le troisième jour. Minimum sept personnes, maximum dix personnes. À chaque fois, tout le monde s'efforçait de ne pas paraître trop triste pour qu'il ne passent pas un trop mauvais premier jour. Ma copine avait préféré m'épargner ce faux espoir sans tout de même m'en dire trop. Je fus surprise qu'il y avait toujours autant de monde. J'appris que certains se mariaient ici. Le matin du quatrième tour, un tour étant égale à trois jours, alors que je commençai à me croire intouchable, un garçon de mon groupe d'enfant disparut. Nous cherchâmes partout, mais aucune trace de lui. Il y avait pourtant toujours quelqu'un pour reconnaître un corps. Chaque personnes étaient vue au moins une fois personne ne disparaîsait comme ça et jamais il n'eut des corps inconnus. C'était même pour vérifier ce point que quelqu'un eut l'idée de faire des groupes de quatorze minimum. Pour être sûre. Puisqu'il n'y avait que treize morts, il restera au moins un pour témoigner. Tu devine donc, lecteur, que les jours suivant, je craignais à tout instant de mourir à mon tour. À chaque fois que je me sentais à l'abris, un « proche » mourrait. Au bout de deux, trois fois, je cessais d'espérer. Un jour, ce fus au tour de mon amie. Elle, elle ne disparut pas. Je fus triste les jours qui suivirent. J'eus même envie de ne pas dormir la nuit des morts, mais on me le déconseilla. Ce qui faisait cela devenait blême à un point inimaginable, les yeux écarquillés de terreur. Je vous passe les autres détails pour arriver directrement à la fin de mon séjour. Ça faisait longtemps que j'ai arrêté de compter les jours. Je m'étais endormis en me disant que je mourirai peut-être demain. J'ai dit qu'il n'y avait pas moyen de se suicider ? Mis à part sauter dans la faille, et encore. Il n'y avait rien sur la pleine, donc pas de nourriture non plus. On ne pouvait ni mourir de faim, ni de soif, ni de fatigue, etc. On ne pouvait pas non plus se laver, mais personne n'est sale. Désoler pour le plagia, mais je crois aussi que le temps s'était arrêté pour nous. Bref, je m'étais endormie et je me retrouve dans le TGV, complètement perdue. La surprise de mes parents quand je me suis sautée sur eux. Comme si je ne les avais plus vu depuis une éternité. Pour ceux qui croient que j'ai terminé, désoler, mais c'est pour bientôt. Commençons par une chose très triste. Le lendemain, je me souvenais parfaitement de mon aventure, mais je ne me souvenais absolument plus des gens. Tout mes souvenirs d'eux étaient devenue tout flou. Limite si je me souviens du genre d'un tel ou d'un tel autre. Le nom de l'étoile par contre je m'en souviens parfaitement. Et je trouvai de nombreux témoignages. Le problème, ils disparaîssaient. Le témoignage de S. ou É. par exemple, c'était super bien écrit. Un jour je voulus les relire, mais pas moyen de les retrouver. Et peu de personnes mettait leurs identités dans les témoignages. Je choisis de faire pareil. Navré. Voilà, voilà.
Bon, il reste à revoir, tout peut être amélioré, mais pour mettre un petit quelque chose ici, je n'ai pas vraiment d'autres idées. Si vous voulez lire d'autre de mes textes, j'en ai mis quelques'uns à la page « LE BLOG ». Merci. |
AuthorIci se trouve quelques'uns de mes création littéraires, mais ne t'attends pas à trouver du théâtre ou de la poésie très codé. Il y aura peut-être un jour une exception, mais pas souvent. Archives
Août 2016
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